Les patients comme Deborah passent des années à rêver de percées et de nouveaux traitements pour améliorer les résultats des traitements et leur qualité de vie.

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Cette année, Lymphome Canada célèbre son 25e anniversaire. Vingt-cinq ans d’autonomisation des patients! Depuis 1998, année de la fondation de Lymphome Canada, nous avons travaillé sans relâche à soutenir les patients et la communauté du lymphome par des ressources éducatives, des programmes de soutien, du financement pour la recherche et en préconisant de nouvelles thérapies contre le lymphome. En l’honneur de cet anniversaire important, nous partagerons l’histoire inspirante de l’une de nos fondatrices, Deborah Sterritt.

La recherche sur le cancer fait partie intégrante de la découverte et de la mise au point de nouveaux traitements pour les patients atteints de lymphome. Grâce à la recherche continue, il y a de plus en plus de nouvelles approches pour diagnostiquer et traiter le lymphome. Lymphome Canada travaille avec un conseil consultatif scientifique expérimenté, qui aide à examiner les ressources éducatives et les demandes de financement de la recherche d’études prometteuses susceptibles d’améliorer les résultats thérapeutiques et la qualité de vie des patients atteints de lymphome.

Unissez-vous à Lymphome Canada en faisant un don pour financer la recherche qui donnera lieu à des diagnostics plus précoces et à des traitements plus efficaces. Ensemble, nous pouvons donner de l’espoir aux personnes touchées par la maladie, aspirer à des lendemains meilleurs et soutenir les patients atteints de lymphome comme Deborah.

En 1995, Deborah Sterritt reçoit un diagnostic d’une forme indolente de lymphome non hodgkinien (lymphome folliculaire) alors que ses filles n’ont que 9 et 12 ans. Deborah, qui avait perdu sa perdu sa mère à un jeune âge, ne voulait pas que ses filles connaissent le même sort. Elle suit d’abord un traitement agressif, mais en janvier 1998, on lui annonce le retour de son cancer. La meilleure solution dans son cas est de subir une greffe de moelle osseuse.

À l’époque, le taux de survie d’une greffe de moelle osseuse n’était pas élevé et il ne s’agissait pas non plus d’une norme de soins éprouvée pour son sous-type de lymphome. Incertaine, elle examine attentivement les options qui lui sont offertes afin de prendre la meilleure décision pour elle et pour sa famille. Malheureusement, à l’époque, il n’existait pas d’organisation canadienne spécialisée dans les lymphomes vers laquelle se tourner. Il lui a donc été difficile de trouver des informations pertinentes sur la maladie et des options thérapeutiques offertes aux patients canadiens dans sa situation.

Elle se tourne alors vers les États-Unis pour examiner d’autres thérapies susceptibles d’être disponibles au Canada dans un avenir rapproché. Deborah se renseigne sur de nouvelles approches thérapeutiques auprès de sources réputées. Elle sait que sa maladie peut évoluer en dents de scie. Consciente de sa situation, mais généralement en forme, elle est à l’aise d’attendre de voir si un autre traitement sera bientôt disponible (observer et attendre) if another treatment would become available.

En 1995, on lui dit qu’il lui reste environ sept ans à vivre. Mais 28 ans plus tard, Deborah est toujours en vie et raconte son histoire.

Deborah n’a cessé de rechercher des informations sur le lymphome. En 1998, elle participe à une conférence éducative à New York organisée par un organisme américain de lutte contre le lymphome. Rencontrer d’autres patients et en apprendre davantage sur le lymphome est une expérience particulièrement révélatrice pour elle. Il devient alors évident qu’elle pourra mener une vie longue et satisfaisante avec son sous-type de lymphome si ce qui a été approuvé aux États-Unis est introduit au Canada. Pour la première fois depuis son diagnostic, Deborah est optimiste. Elle lance alors la Fondation canadienne du lymphome (FCL), aujourd’hui connue sous le nom de Lymphome Canada, en collaboration avec le Dr Brent Zanke et trois de ses patients, Terry Creighton, Jane Mingay et le regretté David Pitblado.

Alors qu’elle était membre active de l’équipe de Lymphome Canada, Deborah a contribué à l’établissement des principes fondamentaux encore présents dans la mission de Lymphome Canada. Toujours centré sur les patients, Lymphome Canada a pour mission de leur donner ainsi qu’à la communauté du lymphome des moyens d’action par ses activités éducatives, ses services de soutien, la défense des droits et la recherche.

« Je crois sincèrement que Lymphome Canada m’a sauvé la vie. » – Deborah Sterritt

En faisant un don à Lymphome Canada, vous contribuez à une cause plus importante. Vous aidez à changer la vie des patients et de leur famille partout au Canada.

Deborah a voulu prendre son destin en main. Elle a accumulé des souvenirs en voyageant avec ses filles jusqu’à ce qu’elle approche de la barre des sept ans et qu’elle réalise qu’elle pourrait vivre au-delà de ce que les médecins lui avaient prédit. Elle allait donc avoir plus de temps pour amasser de nouveaux souvenirs. En 2004, Deborah a pris du recul par rapport à Lymphome Canada pour suivre un traitement. Mais elle demeure une partisane active de l’organisme et milite en faveur de l’éducation sur le lymphome. Depuis son premier diagnostic il y a 28 ans, Deborah a fait tout ce qu’elle pouvait pour s’assurer que les patients puissent avoir accès aux connaissances et aux options de traitement canadiennes afin d’augmenter leurs chances thérapeutiques et, tout aussi important, leur qualité de vie.

Grâce à l’attente sous surveillance et à l’auto-apprentissage, Deborah a vécu une vie longue et épanouie en tant que patiente atteinte d’un lymphome folliculaire. Même si cette maladie répond généralement bien au traitement, il y a toujours un risque de rechute. L’automne dernier, son lymphome ayant récidivé pour la cinquième fois, Deborah a dû subir un nouveau traitement. Elle pratique maintenant l’attente sous surveillance et espère que de nouveaux traitements seront disponibles sous peu.

« J’ai très bon espoir que nous pourrons trouver une solution. » – Deborah Sterritt.

Les patients comme Deborah passent des années à rêver de percées et de nouveaux traitements pour améliorer les résultats des traitements et leur qualité de vie. Mais ce souhait n’est possible que grâce à la géné-rosité de donateurs comme vous.

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